Le 19 et 20 juillet dernier, Sikou Niakaté est venu à la rencontre de jeunes accompagnés par Grandir Dignement, d’abord en quartier des mineurs à l’établissement pénitentiaire de Metz Queuleu puis sur le site de notre antenne à Nancy.  

Réalisateur autodidacte, Sikou Niakaté a réalisé, avec la volonté d’être libre, son premier film documentaire « Dans le noir, les hommes pleurent » où il interroge les injonctions sociétales liées à la masculinité. Il met notamment en lumière le rapport au corps et aux émotions chez les hommes issus des quartiers moins favorisés. Neuf jeunes des trois antennes de Grandir Dignement et 3 jeunes du quartier des mineurs de Metz ont vu son film, ainsi que les éducateurs et 7 volontaires facilitateurs qui ensemble accompagnent les jeunes.  

Après la projection du film, Sikou Niakaté a lancé le débat en permettant aux jeunes de se livrer sur leur rapport aux émotions : les larmes, la relation au corps, la relation aux autres, la relation amoureuse. À cet instant, dans cette bulle d’intimité, les interactions se sont enchainées. Beaucoup ont exprimé leurs ressentis, chacune et chacun a participé à sa manière. De façon spontanée, un jeune s’exclame : « Faut être courageux pour se mettre à nu comme ça et parler de soi, c’est pas toujours facile. ». Pour les jeunes en quartier des mineurs, le mot « masculinité » demeurait encore assez indéfinissable. Mais après quelques échanges, ils se sont accordés à dire qu’un homme aussi ressent des émotions et qu’il peut les exprimer sans craindre les regards. En mot de conclusion, Sikou Niakaté a confié que l’expression de ses émotions l’avait libéré.  

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Ce mercredi 14 juin 2023, six jeunes SCA (Service Civique Adapté) et 6 facilitateurs des antennes de Metz, Strasbourg et Nancy ont rencontré Dominique Rolin, délégué du Défenseur des droits en Moselle. Il est intervenu dans le cadre de la consultation nationale portant sur le droit aux loisirs, au sport et à la culture. 

M. Rolin a d’abord pris le temps de définir ce qu’est un enfant et de présenter l’évolution des droits de l’enfant. Il a ensuite expliqué ce qu’est la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) et détaillé les droits fondamentaux qu’elle contient. Parmi ces droits se trouve ainsi le droit à la culture, au sport et au loisir.  

Dans un second temps, le délégué du Défenseur des droits a présenté sa fonction, la loi qui établit ses compétences et les données chiffrées de 2022 (nombre de demandes, par qui est-il saisit et la nature de droits violés). Il a également présenté aux jeunes les acteurs vers lesquels se tourner en cas de besoin. 

La discussion s’est ensuite dirigée vers le choix du thème de cette année. Dominique Rolin a donc expliqué qu’avec l’arrivée des Jeux Olympique en France, les difficultés de l’accès au sport et à la culture ont été mises en avant. La consultation a donc été mise en place afin de réfléchir à des solutions.  

Les jeunes ont eu l’opportunité de participer à des ateliers de sensibilisations toute l’année sur cette thématique et se sont montrés impliqués et enthousiastes. Ils n’ont pas hésité à poser des questions à propos du métier de Défenseur des droits et de ses fonctions :  “Le défenseur des droits est bénévole ou est-il rémunéré ? ” ; “Le défenseur des droits peut-il intervenir s’il y a des discriminations dans le cadre du travail ?”  

Dominique Rolin a donc expliqué le fonctionnement un peu particulier de l’institution. En effet, lui-même est bénévole mais accompagné d’une équipe de juristes salariés. Si un droit n’est pas respecté, peu importe lequel, le défenseur des droits peut intervenir. 

Enfin, les participants ont partagé leurs propres réflexions sur les raisons de l’éloignement des jeunes de la culture. lls ont notamment souligné les difficultés existantes pour accéder à la culture et ont mis en avant les préjugés auxquels ils font face lorsqu’il s’agit de participer à des activités culturelles.  

Début juin, 3 jeunes volontaires en Service Civique Adapté, une volontaire facilitatrice ainsi que l’éducatrice spécialisée de l’antenne de Nancy se sont rendus pour une semaine au refuge solidaire de Briançon. Le refuge solidaire est une association créée en 2017 qui offre le gite, le couvert, des vêtements adaptés ainsi que des produits d’hygiène aux personnes exilés. Plus qu’un simple refuge, elle assure également un suivi médical et informe les exilés des droits dont ils disposent en France. L’objectif : proposer un espace pour se ressourcer et reprendre des forces l’espace de quelques jours. Une centaine de bénévoles s’investissent chaque jour au sein de différentes équipes afin de pourvoir, du mieux que possible, à l’ensemble des besoins des exilés.  

Dans ce concentré d’altruisme mêlant des femmes et des hommes de divers horizons, la notion de bénéficiaire s’efface pour laisser place à celle du partage.  

C’est dans ce cadre que les jeunes ont intégré l’équipe “repas”. En se retroussant les manches avec bonne humeur, ils ont participé à la confection des repas pour les 120 personnes accueillies au refuge.  

La semaine a été l’occasion de prendre conscience des conditions de vie et de la dureté du parcours migratoire pour des personnes qui quittent leur pays. L’opportunité de changer les regards sur l’immigration, de faire de belles rencontres et de prendre part à des temps de convivialité. Les moments passés au refuge solidaire ont été ponctués de sorties dans les environs. Une belle occasion de prendre du recul et de décompresser.  

Pour finir, parole aux jeunes : “Mon avis par rapport au voyage à Briançon, c’était bien, il y avait une bonne ambiance de groupe tout le monde s’entendait bien c’était cool on a tous passé un bon moment. Par rapport aux réfugiés ça m’a aidé de voir ça car quand j’ai vu leur état de vie ça m’a ouvert les yeux. Ils n’ont pas beaucoup pour être heureux mais ils ne se plaignent pas ils ont l’air heureux malgré leur condition de vie, sinon ils étaient grave sympa on a fait des bonnes connaissances et c’était cool. J’espère qu’ils vont tous s’en sortir malgré les galères qu’ils ont.” 

Découvrez le slam d’un jeune accompagné par Grandir Dignement :

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Depuis 2019, Grandir Dignement est membre du collectif Cause Majeur.

Le Collectif Cause Majeur ! rassemble près de trente associations, collectifs et personnalités qualifiées (jeunes et professionnel·le·s) qui ont décidé de s’unir pour remettre les jeunes majeur·e·s sortant de la protection de l’enfance ou ayant été pris·es en charge par la protection judiciaire de la jeunesse au cœur des politiques publiques.

Le 14 février, Cause Majeur! a organisé, avec le soutien des députées Michèle Peyron et Isabelle Santiago, un petit-déjeuner parlementaire réunissant Charlotte Caubel, secrétaire d’État chargée de l’enfance et plusieurs autres député·e·s qui ont répondu présents à l’invitation. Ainsi les membres du collectif et quelques jeunes accompagné·e·s par ces associations ont pu échanger sur la situation des jeunes majeur·e·s en France : Grandir Dignement y était, représentée par un jeune et Maria, notre coordinatrice socioprofessionnelle à Metz !

Maria raconte : « La journée s’est très bien déroulée. Le petit déjeuner s’est déroulé de 8h20 à 10h et pendant ce temps nous avons pu écouter l’intervention de plusieurs membres de Cause Majeur qui ont expliqué le collectif et la situation des jeunes, partagé des chiffres-clés et donné des recommandations pour améliorer la situation des jeunes accompagnés par l’Aide Sociale à l’Enfance et la Protection Judiciaire de la Jeunesse.

Nous avons écouté le témoignage de plusieurs jeunes de différentes associations qui ont raconté un bout de leur histoire. Nicolas* a fait un discours d’1 minute 30, il s’est présenté, a parlé de son parcours, de la manière dont Grandir Dignement l’accompagne et l’aide dans son insertion professionnelle. Il était un peu nerveux, mais il s’est très bien débrouillé. Enfin, les parlementaires ont pris la parole.

Pendant le petit déjeuner, Nicolas était très attentif et intéressé par ce que les jeunes comme les adultes disaient.

Après le petit déjeuner, nous avons fait une promenade dans Paris, car Nicolas ne connaissait pas la ville. Nous avons marché près de la Tour Eiffel, du Louvre, Notre Dame, entre autres. À la fin de la journée, il m’a dit qu’il était très heureux d’avoir trouvé Grandir Dignement, qui non seulement l’aide dans ses affaires administratives et professionnelles, mais lui a aussi donné l’occasion de connaître Paris et d’être proche des députés et des ministres. Il était très heureux et motivé à continuer de participer dans les activités de GD !

Voici le discours qu’il a préparé : 

Bonjour, je m’appelle Nicolas***, j’ai 17 ans et je vis à Metz. J’ai étudié au lycée de Montigny-Lès-Metz où j’ai fait des études dans la menuiserie et ça m’a beaucoup plu. Je me suis potentiellement dit que ce serait mon métier de plus tard, mais j‘ai abandonné parce que je voulais découvrir de nouvelles choses.

J’ai trouvé 2 stages, un dans la menuiserie et un autre dans la maçonnerie. La maçonnerie ne m’a pas trop plu et cela m’a fait perdre un peu dans mes possibilités de formation. J’ai ensuite rencontré mon Educateur, qui se situe à Borny au PJJ – STEMO. Il m’a fait découvrir Maria et l’association Grandir Dignement. Aussitôt arrivé je me suis intégré très rapidement, j’étais à l’aise avec l’équipe des éducateurs et d’accompagnateurs et je me suis directement bien entendu avec les autres jeunes. Ceci est pour moi une chance d’avoir intégré cette association, car je peux enfin rentrer dans la vie active et le monde du travail, ainsi qu’avoir les outils nécessaires pour construire mon projet professionnel.  Avec Grandir Dignement j’ai visité un musée, moi qui n’aime pas trop ce genre d’endroits, cette fois j’ai trouvé ça très intéressant.

Merci de m’avoir écouté. 

Un grand merci au collectif Cause Majeur !
et particulièrement à Florine Pruchon, coordinatrice du collectif.

Prénom d’emprunt*

Grandir Dignement recrute !

Le poste à pourvoir est un CDD de 12 mois (reconductible), basé à Nancy, au sein d’une équipe dynamique et bienveillante !

Pour candidater, il suffit d’envoyer un CV et une lettre de motivation avant le 20 février à :

engagement@grandirdignement.org

et

sophie.remy@grandirdignement.org

Plus d’info ci-dessous :

Notre équipe de Metz a eu le plaisir d’accueillir les représentants de la Fondation SFR, Monsieur Depierre, Délégué régional d’Altice SFR, Monsieur Sacksteder, Parrain du projet et Madame Claudel, Chargée de communication ce jeudi 26 janvier 2023 pour le lancement du projet de création d’un espace numérique et de prévention numérique à destination de nos jeunes !


A cette occasion, ils ont pu échanger avec nos jeunes autour de leurs projets d’avenir et nous ont remis un chèque de 5 000€, avant de partager un verre de jus de pommes (du jardin !) pour fêter l’évènement 🎉

Grâce au soutien de la Fondation SFR et de celui de la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse de Moselle avec qui nous collaborons depuis plusieurs années, cet espace numérique nous permettra d’accompagner nos jeunes vers l’autonomie sur leurs démarches administratives (sécurité sociale, recherche de formations ou de logement…) et de proposer de multiples ateliers de sensibilisation : lutte contre le cyberharcèlement, sensibilisation au décryptage de l’information, risques des réseaux sociaux…


Ce lieu sera un véritable incubateur d’autonomie et de citoyenneté !

En décembre, notre antenne de Metz a accueilli Colette Duquesne dans le cadre de notre dispositif des « Grands Témoins ». Ce programme proposé au sein de notre délégation française consiste à donner la parole à des personnes aux parcours particuliers et aux discours inspirants.

Placée à l’Aide Sociale à l’Enfance, autrefois appelée l’assistance publique, Colette intervient aujourd’hui dans diverses structures pour présenter une exposition sur les droits de l’enfant dont elle a participé à la conception.

Les interventions se sont déroulées avec la présentation de plusieurs panneaux abordant chacun un sujet bien spécifique, avec une dimension chronologique. Ainsi l’exposition débute avec un panneau sur « L’ancien régime et l’abandon des enfants« , évoque ensuite « La révolution française et la Déclaration des Droits de l’Homme« , puis « La révolution industrielle et les droits sociaux« . Certains panneaux se concentrent davantage sur une thématique, tels que « L’enfermement des enfants en colonie pénitentiaires« ou « Les enfants de l’assistance publique« .

L’exposition se finit avec le panneau s’intéressant à la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, adoptée le 20 Novembre 1989. Elle reconnait des droits civils et politiques.

Sous chacun de ces panneaux se trouvent des questions permettant aux jeunes de participer au débat et ainsi retenir les points importants.

ZOOM sur Janusz Korczak, le « père des droits de l’enfant » : c’est un médecin, écrivain et pédagogue polonais. Il défend la dignité, et demandera le droit à l’expression des enfants.

L’enfant peut participer à sa propre éducation. Janusz ouvrira des orphelinats et fera tout avec les enfants : parlement, règlement, tribunal des enfants etc… ce qui leur apprendra bienveillance et empathie. En 1940 l’orphelinat est transféré à Varsovie. En 1942, Janusz meurt en camp d’extermination avec les 200 enfants qu’il avait à charge. La Pologne, en 1970 reprendra le combat de KORCZAK pour aboutir à l’adoption de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant donnant à l’enfant un statut et une protection juridique.

Ainsi, les enfants ont droit :

à la vie,

à une identité,

à une justice adaptée,

à une famille,

à la santé,

aux loisirs,

à l’information,

à l’expression,

à la culture,

à l’éducation,

à l’intimité,

à la protection des violences,

à une vie décente.

La première intervention, le mardi au sein de nos locaux, a duré environ 2h15 et a captivé les 10 personnes présentes à cette occasion (5 jeunes, les accompagnatrices, les stagiaires et l’éducatrice).

La deuxième journée s’est déroulée au Quartier Mineur de Metz-Queuleu. Madame Duquesne a présenté sous la même forme que la veille son activité. Les mineurs ont apprécié le panneau sur les défenseurs des droits de l’enfant et ont voulu développer ce thème lors d’autres activités au Quartier Mineur. Ils ont bien interagi avec le grand témoin et ont trouvé cette intervention constructive.

L’association Grandir Dignement a été représentée par notre coordinatrice et un jeune accompagné lors de la cérémonie de restitution du rapport annuel de la Défenseure des droits, qui s’est tenue à Paris le 17 Novembre dernier.

L’événement a débuté par un déjeuner convivial puis le rapport annuel 2022, qui portait sur la vie privée, a été présenté en début d’après-midi. A l’occasion, Claire Hédon, la Défenseure des droits, a donné une explication du droit à la vie privée des enfants et des adolescents, un contexte général et quelques chiffres très percutants (par exemple, selon les données recueillis par la direction générale de l’enseignement scolaire, 25 % des collégiens déclarent avoir connu au moins une atteinte à leur vie privée en ligne).

S’en sont suivies deux tables rondes, l’une sur la vie privée dans le numérique et les réseaux sociaux, et l’autre sur le droit à la vie privée dans les structures collectives.

Les deux tables rondes ont été très intéressantes car elles comptaient non seulement sur la présence et l’intervention de défenseurs des droits, de secrétaires d’État et de députés, mais aussi d’enfants et d’adolescents qui faisaient partie des foyers et des associations qui ont participé à la consultation (dont GD fait partie). Ces jeunes ont donné leur avis, posé des questions aux politiciens et aux défenseurs des droits, raconté leur situation et montré les vidéos, chansons ou affiches qu’ils avaient réalisées.

Une fois l’événement terminé, la conversation au sujet du droit à la vie privée et la difficulté de « respecter » ce droit dans le monde numérique s’est poursuivie entre notre coordinatrice et le jeune accompagné, qui a beaucoup apprécié la journée !

En conclusion, le rapport annuel a été distribué aux parties présentes (il est également disponible sur le site web) et le thème de l’année prochaine est annoncé : la consultation et le rapport porteront sur les droits aux loisirs, au sport et à la culture.

Pour plus d’infos sur ce rapport annuel sur la vie privée, suivez ce lien : https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/synth-rae-2122-num-accessible.pdf

Chaque année au sein de la SNCF, une Journée Solidaire Environnement est organisée avec des salariés volontaires afin de leur faire découvrir les missions d’une association partenaire pour soutenir ses missions le temps d’une journée.
Dans le cadre de notre coopération avec la Fondation SCNF, nous leur avons ainsi proposé une immersion dans notre jardin à Nancy le jeudi 6 Octobre.

Ce sont donc 21 employés qui sont arrivés de bon matin au jardin.

La journée commence par un petit déjeuner collectif : la rencontre entre les membres de la SNCF, l’équipe Grandir Dignement et les jeunes se fait dans une ambiance conviviale et sympathique!

Avant toute chose, un petit cours sur la faune et la flore s’impose. 🌱

Le projet phare de la journée étant le creusage d’une mare, nos encadrants techniques en profitent pour expliquer la fonction des mares dans l’environnement.
→ La création d’un tel point d’eau au jardin offre refuge, lieu de reproduction, d’alimentation et bien entendu un lieu de vie à de nombreuses espèces, comme les grenouilles… qui se nourrissent d’insectes qui peuvent être nuisibles à certaines plantes !

Les consignes sont ensuite données et les travaux peuvent commencer ! 💪

Pour le bon déroulement de la journée, les participants sont répartis sur trois ateliers :

1 – Creuser la mare/broyer le bois/jeter la terre

2 – Visite du jardin et pépinière

3 – Cuisine

Focus sur le chantier de la mare ! 💧

Tout d’abord, le marquage au sol de la forme de la mare est nécessaire : ce sera en forme de croissant afin de donner un résultat plus naturel !

Une fois la terre retournée, on peut commencer à creuser trois niveaux. ⛏

Ce fut un beau moment partagé par tous, les jeunes se sont beaucoup investis dans la création de la mare et ont bien échangé avec les membres de la SNCF.

Le bois des vieux arbres du jardon est broyé, afin d’être ensuite utilisé comme engrais pour les plantes du jardin ; la terre creusée est quant à elle utilisée pour recouvrir les racines des épicéas ; enfin la terre fertile est mise de côté pour les plantes !

Après une matinée de labeur à creuser, pousser les brouettes et planter les semis, toute l’équipe passe à table autour des beaux plats préparés et servis par les participants de l’atelier cuisine… 🍽


Une rotation des groupes a lieu l’après midi : la mare est toujours d’actualité, mais aussi la plantation de semis en pépinière, les jeunes de l’association ont aussi été chargés de faire visiter le jardin aux salariés de la SNCF ! 🥦🥕

Ce fut une très belle journée, qui résulte en 1 mare creusée de 6M3, 8M3 de branches broyées, 1M3 de sable déplacé, 200 plants plantés, 15 m2 de planche préparée et amandée et 50 boutures réalisées !

Un grand merci aux membres de GD et de la SNCF présents lors de cette journée conviviale 🎉