Amélie Sevenier, employée Air France s’est mobilisée pour présenter le projet de Grandir Dignement au sein de la Fondation Air France.

Grace à son investissement, nous avons obtenu un financement de la fondation, nous permettant de mener des travaux de réhabilitation au sein du quartier mineur de Diego Suarez.

Amélie air france
Amélie a accepté de répondre à nos questions:

 – Peux tu en quelques lignes, te présenter?
Alors, me présenter en quelques lignes… j’ai 34 ans, après des  études de Langues Etrangéres Appliquées à l’université d’Avignon et 6 mois d’échange Erasmus j’ai intégré Air France à l’escale de Washington Dulles aux USA pendant 18 mois, l’aventure américaine terminée j’ai décroché un petit contrat Air France à l’escale de Grenoble, le milieu anglo saxon me manquait et j’ai donc opté pour une aventure londonienne en 2004 jusqu’en 2008 toujours au sein d’Air France.
En 2008 grâce à une mobilité européenne j’ai pu intégrer Air France Paris au service bagage dans un premier temps et depuis le mois de juin 2014  je suis à la vente à Roissy Charles de Gaulle.
 
– Comment as tu découvert Grandir Dignement?
J’ai découvert Grandir Dignement grâce à des amis en mission à Madagascar dont Aurélien Lorton qui était responsable de projet agricole et de recherche de fonds au sein de l’association Grandir Dignement.
De plus cela m’a permis de m’interesser à l’association dont le but est d’améliorer les conditions de vie en détention des enfants tout  en respectant  leur dignité et leur humanité.
En prenant connaissance du projet et en étant en contact avec Aurélien mais aussi Gregory Cron KOTZAMANIDIS et encore Hélène Muller, j’ai pu me familiariser avec l’association, ses objectifs et j’ai pu partager le projet de l’association auprès de la Fondation Air France.
 
– Quels types de projets soutient la Fondation Air France?
 La fondation Air France a pour engagement l’enfance et a pour vocation de soutenir des projets en faveur des enfants et des jeunes malades, handicapés ou en grande difficulté, en France et dans les pays où Air France est présent. Les projets que la Fondation soutient portent sur deux grands domaines d´activités : l’éducation et la formation.
Par ailleurs la Fondation est attentive aux projets présentés par le personnel d’Air France c’est pourquoi je me suis investie pleinement.
 
– Qu’est ce qui t’as motivé à t’engager auprès des enfants en détention?
J’ai été très touchée d’apprendre qu’à Madagascar on peut aller en prison pour un vol de fruits et légumes, c’est pourquoi m’investir dans ce projet a été un réel plaisir.
 
– Pourquoi soutenir cette association? Quels aspects du travail de Grandir Dignement apprécies tu?
  Ce que j’apprécie au sein de Grandir Dignement c’est de tout metttre en oeuvre pour contribuer au bien être des enfants détenus mais encore de participer à leur alphabétisation, de les impliquer dans une vie artistique et de leur apprendre des métiers.
 
– Est ce que tu penses un jour avoir l’occasion de venir visiter ces jeunes?
Découvrir Madagascar fait parti de mes plans futurs et dès que je plannifierais ce voyage et ça me ferait  plaisir de rendre visite à ces jeunes.
 
–  Comment envisages tu l’avenir de ces jeunes après la réhabilitation de leurs centres?

Je pense que le passage des jeunes par le centre peut leur servir d’expérience, en effet si ça peut leur permettre de recevoir une éducation, d’acquérir certaines valeurs, d’apprendre à cultiver la terre ou encore à fabriquer de la vannerie, cette expérience peut s’avérer bénéfique.
 
Grandir Dignement remercie vivement Amélie, ainsi que la Fondation Air France pour son soutien et sa confiance.

 Congrès Mondial de la Justice Juvénile à Genève du 26 au 30 janvier 2015

QUESTIONNAIRE SUR LA COOPÉRATION ENTRE LE MINISTÈRE DE LA JUSTICE DE MADAGASCAR ET L’ASSOCIATION GRANDIR DIGNEMENT

DRL

 

 

 

 

 

 

 

  • I. Pouvez-vous vous présenter a nos lecteurs en leur expliquant vos fonctions au sein du Ministère de la Justice à Madagascar ? 

    Mon nom est LALAHARINIVO Laurette, je suis Magistrat et actuellement, j’exerce la fonction de Directrice des Reformes Législatives au sein du Ministère de la Justice, fonction qui m’a été confiée depuis maintenant 14 ans. Aussi vu ce temps passé à la tête de cette Direction, j’ai rencontré depuis beaucoup de difficulté dans l’exécution de mon travail consistant à élaborer et à faire adopter les différentes lois concernant le fonctionnement de la Justice ainsi que les textes ayant trait au droit, mais également des satisfactions face aux réussites dans l’élaboration et l’adoption desdites lois. 

    Il faut également préciser que le travail au sein de la DRL, formée par une équipe de Magistrats et de personnel très soudée, consiste surtout à mettre la législation nationale en conformité avec les instruments internationaux ratifiés par Madagascar, dont notamment les droits des enfants. En effet, la DRL est la Direction chargée de tout ce qui a trait aux droits des enfants au sein du Ministère de la Justice et est ainsi chargée du secrétariat technique de la Commission de Réforme des Droits des Enfants (CRDE), commission multidisciplinaire chargée d’examiner les reformes relatives aux droits des enfants, composée de représentants des Ministères concernes ainsi que de la Société civile et des Partenaires techniques et financiers.

  • II. Comment avez-vous connu Grandir Dignement ?L’Association « Grandir Dignement » est une association qui a depuis 2009 œuvré auprès des enfants en conflit avec la loi en détention à Madagascar, pour faire respecter les droits des enfants même s’ils sont privés de liberté, et de ce fait, Grandir Dignement a déjà travaillé avec le Ministère de la Justice dans le cadre de l’Administration pénitentiaire en vue de leur réinsertion sociale. Et c’est ainsi que la Direction des Reformes Législatives a été mise en contact avec l’association, étant donné que la cohérence doit être de mise dans la mise en place d’un cadre juridique adéquat.

    La DRL travaille également étroitement avec l’association dans la mise en œuvre du dispositif de liberté surveillée, mesure prévue dans le texte régissant les enfants en conflit avec la loi en vigueur

  • III. En quoi consiste votre collaboration ?Comme précisé précédemment, nous travaillons étroitement avec l’association « Grandir Dignement » dans la mise en place de mesures alternatives à la détention, et notamment dans la mise en œuvre de la mesure de liberté surveillée. L’Association fournit les éducateurs spécialisés, avec l’appui de l’Union Européenne, lesquels éducateurs sont sous la supervision des juges des enfants, à qui ils doivent rendre compte de l’évolution de la situation de l’Enfants en Conflit avec la Loi (ECL). Actuellement des rencontres de sensibilisation sont organisées avec les acteurs tels que les Avocats, les Officiers de Police Judiciaire, mais également auprès du public ; il en est ainsi des activités organisées lors de la célébration de l’anniversaire de la Convention relative aux Droits de l’Enfant consistant à la présence des juges et des éducateurs a des portes ouvertes au public et a des expositions relatives aux activités réalisées au bénéfice des ECL.
  • IV. Que pensez-vous du travail mené par Grandir Dignement à Madagascar ?Jusqu’à maintenant, je pense que Grandir Dignement fait un bon travail et même un travail formidable a Madagascar pour garantir aux enfants entrant dans le système judiciaire, et également pour la mise en œuvre de la mesure de liberté surveillée qui a été prévue par le texte régissant les ECL datant de 1962 mais jamais appliquée depuis, mais qui , avec le partenariat qui existe entre le Ministère de la Justice et l’Association peut être appliquée, même si ce n’est qu’a titre expérimental au niveau de la Juridiction de la capitale.
  • V. Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste les dispositifs de liberté surveillée pour les enfants en conflit avec la loi ?La mesure de liberté surveillée est une mesure alternative à la détention pour les Enfants en conflit avec la loi. Ce système s’applique pour les enfants ayant commis des délits mineurs (vol, bagarre, escroquerie…). Ces enfants bénéficiaires sont ainsi soumis à des contrôles réguliers par des éducateurs spécialisés, et par une rencontre hebdomadaire avec ces derniers, suivi d’un rapport qui sera remis au juge des enfants responsable du dossier.

    Cette mesure ne peut être décidée par le juge que si l’enfant et les parents sont d’accord pour l’appliquer. A cet effet, l’enfant et la famille sont convoques chaque mois par le juge afin de suivre l’évolution de sa situation.

  • VI. Pensez-vous qu’il soit possible prochainement d’élargir ce dispositif de liberté surveillée sur l’ensemble du territoire ? Si oui, quels seront les étapes de la mise en place pour y parvenir ?C’est peut-être trop ambitieux de dire qu’il nous sera possible prochainement de l’étendre sur tout le territoire mais l’effort à fournir ensemble c’est d’arriver à la mettre en œuvre petit à petit au niveau des grandes juridictions et peut-être plus tard sur tout le territoire. Car il ne faut pas oublier que si cette mesure n’a pas pu être appliquée depuis c’est par manque de moyens, moyens humains d’abord car le texte prévoit que les délégués devant assurer le suivi sont des bénévoles, ensuite moyens financiers car actuellement les éducateurs spécialisés sont payes par l’Association, dont le projet ne peut pas trop s’étendre, or on aurait besoin de plus d’éducateurs que le Ministère de la Justice ne peut encore prendre en charge actuellement.
  • VII. Quelles autres peines alternatives existent pour les ECL à Madagascar ?Il y a notamment les amendes qui sont prévues par le Code pénal, les admonestations envers les enfants irresponsables pénalement, et prochainement après l’adoption de la nouvelle loi devant inclure le travail d’intérêt général, ce dernier devrait figurer parmi les peines alternatives à appliquer en faveur des ECL.

    VIII. Suite à l’état des lieux mené par GD qui vous sera remis, il a été constaté qu’il n’y avait pas de séparation entre les ECL et les majeurs dans certains centres pénitentiaires. Est-il envisageable de mettre en place des centres éducatifs qui regrouperaient les mineurs incarcérés dans certaines régions ?

    Ce serait vraiment l’idéal, mais il faut se rendre à l’évidence que le Ministère de la Justice n’a pas le budget nécessaire pour y parvenir. Aussi, on sollicite vraiment nos partenaires à nous appuyer dans ce sens. Par ailleurs, nos efforts actuellement vont dans le sens de pouvoir vraiment séparer les quartiers des enfants de ceux des majeurs au niveau de tous les établissements pénitentiaires.

    De toutes les façons, nous remercions vivement l’Association « Grandir Dignement » pour toutes les actions entreprises en faveur des enfants en conflit avec la loi à Madagascar. Nous souhaitons vraiment la pérennité desdites actions.

 

Pour plus d’information concernant la direction des réformes législatives: http://www.justice.gov.mg/?page_id=388

Le 28 janvier dernier a eu lieu la première journée des familles de cette nouvelle année 2015
A la maison centrale de Diego-Suarez et au Centre de Rééducation de Joffreville, les jeunes ont pu retrouver pour une matinée leurs familles.

Le centre de rééducation étant à quelques km de la ville de Diego, Grandir Dignement offre les services d’un taxi-brousse aux familles désirant visiter leur enfant.

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Ces journées sont très importantes. Elles permettent aux jeunes de ne pas rompre le lien avec leurs familles mais également pour Grandir Dignement afin de créer un lien de confiance avec les mères de détenus.
Les journées des familles sont toujours de bons moments pour les jeunes et pour les équipes de Grandir Dignement.

Lors de l’anniversaire de la convention internationale des droits de l’enfant en novembre 2014, Grandir Dignement a pu intervenir dans l’émission le « téléphone sonne » sur France Inter.

Écoutez l’intervention sur France Inter

le téléphone sonne

Interview sur RFI de notre directrice et fondatrice, Hélène Muller explique les conditions d’incarcération des mineurs à Madagascar.
Belle intervention !

A écouter via ce lien : http://www.rfi.fr/emission/20150104-madagascar-prisons-mineurs-helene-muller-grandir-dignement/

Grandir Dignement a créé une BD « Mes droits en détention » pour sensibiliser les jeunes, l’Administration Pénitentiaire et les Organisations de la Société Civile aux droits des mineurs en détention.
Cette BD montre des situations du quotidien et explique les bonnes attitudes à adopter.

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Ce support permet aux jeunes de comprendre leurs droits et de pouvoir les faire appliquer.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour ouvrir la BD:

BD pour pochette

Le 21 novembre dernier, Nathalie Millet (artiste venant de la réunion avec Jace dans le cadre du projet de l’AF zoky gouzou), Francomme Shangai (DS Prod) et Clement andrianomena (DS prod), sont intervenu à la maison centrale de Diego-Suarez pour animer un atelier d’arts plastiques.

Durant cet atelier, des masques en carton ont été réalisés

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Les jeunes étaient très heureux de cette rencontre et de ce moment.
Nous espérons pouvoir renouveler ces ateliers avec nos amis de l’île de la Réunion et de DS Prod! Merci à eux !

Suite à l’état des lieux mené par Grandir Dignement, il était important pour l’association, de pouvoir proposer aux acteurs intervenants en milieu carcéral, une formation à l’accompagnement des mineurs en milieu carcéral et à la prévention des cas de tortures et les maltraitances.

Pour ce faire, un séminaire a été organisé du 24 au 28 novembre 2014, réunissant des membres de la société civile et de l’Administration Pénitentiaire autour d’ateliers participatifs afin d’améliorer concrètement la prise en charge des mineurs incarcérés à l’échelle nationale.
Les différents acteurs du milieu carcéral ont pu se retrouver pour échanger et trouver des alternatives contre les cas de violences et de maltraitances. Ce séminaire s’est déroulé sous forme d’échanges et de mises en pratique sous forme d’ateliers et de jeux de rôles.

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Ci-dessous, un article au sujet du séminaire dans NewsMada à consulter :
http://www.newsmada.com/2014/11/29/detention-des-mineurs-dans-les-prisons-eviter-la-maltraitance-tout-en-faisant-preuve-dautorite/

Grandir Dignement souhaite remercier la maison du Sacré-Cœur d’Ambolokandrina pour son accueil et tous les participants pour leur investissement.

 

INVITATION
 « Les mesures de liberté surveillée,  
Une alternative à l’incarcération des mineurs en conflits avec la loi»
Messieurs,  Mesdames,
Suite à un travail mené conjointement entre le Ministère de la Justice et l’association Grandir Dignement, un service de mesures de liberté surveillée a été créé en juillet 2014 à destination des mineurs en conflit avec la loi. Cette mesure, à vocation éducative, a pour but de surveiller le comportement du mineur, de veiller à son insertion scolaire, professionnelle/sociale et ce en alternative à  l’incarcération. A ce jour, huit mineurs sont sous ordonnance de liberté surveillée. Afin de vous présenter cette mesure et d’échanger avec vous, nous avons le plaisir de vous convier le
VENDREDI 05 DÉCEMBRE DE 9H à 12H à  la salle de conférences-Maison du Droit  Anosy Antananarivo
Au programme:
–  Présentation de la mesure de liberté surveillée
– Conférence-Débat avec Jean-Marie Petitclerc, éducateur spécialisé et formateur en travail social, à l’initiative du projet SAPEIM (service alternatif pour éviter l’incarcération des mineurs).
Je vous prie de croire, Messieurs, Mesdames, en l’assurance de ma respectueuse considération.
Hélène MULLER

Le groupe de musique DANAKIL est officiellement le parrain de Grandir Dignement depuis le 25 novembre 2014 !
Avec des textes, entre poésie consciente et engagement citoyen, Danakil traverse les années et les frontières depuis les années 2000.

Porteur d’un message de paix et d’éveil collectif, la musique de Danakil nous transporte autour du monde et embarque maintenant des millions d’enfants incarcérés avec eux.

C’est un bonheur pour ces jeunes en prison et pour toute l’équipe de Grandir Dignement d’être représenté par ce groupe qui mêle talent et humilité.

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Pour ceux qui ne connaitraient pas encore les chansons de Danakil, voici un bref historique (source France Inter):

« Danakil est un groupe de musique reggae, né en 2000 sur les bancs du lycée « Louis de Broglie » de Marly-le-Roi (78) où étudiait alors une bande de copains, musiciens à leurs heures. Le nom Danakil provient d’un désert en Éthiopie.
Leur premier album auto-produit, nommé Microclimat, sortira le 28 avril 2006 sur le label Essembe Prod, et sera distribué par Believe Digital. Le succès de ce premier opus amène le groupe à s’investir plus sérieusement dans l’aventure…

Danakil sort en 2008 son deuxième album, intitulé Dialogue de Sourds, avec la participation de Mighty Diamonds, General Levy et Jah Mason.

Début 2009, le groupe reçoit comme distinction le titre de meilleur album reggae français 2008.

La sortie du troisième album est prévue le 18 février 2011, pour la promotion de celui-ci, le groupe n’a pas souhaité user de publicités, annonces radios ou autre et a préféré faire appel à ses fans en créant une street team à travers toute la France pour que dans chaque ville, un bénévole s’occupe de distribuer des flyers, affiches, etc. De plus, le groupe a annoncé que durant la tournée de mars et avril 2011, chaque spectateur se verra offrir un exemplaire édition limitée du nouvel album sur présentation de sa place de concert. L’enregistrement de ce troisième album s’est déroulé entre Paris, Bamako et Kingston.

En mars 2011 le groupe fête ses 10 années d’existence. Le 27 février 2012, Danakil remporte les Victoires du reggae 2012, avec le « Meilleur album reggae français ».  Boudés les médias, leur succès populaire est grandissant et ce paradoxe devient symbole de leur pertinence, et source de leur reconnaissance publique.

Leurs succès se ressent notamment dans les salles et dans la communauté du reggae, avec en 2012 une victoire du reggae pour leur album « échos du temps ».

Débordant de créativité et d’inspiration, ils sortent en février 2014,  leur album « entre les lignes » accompagné d’une tournée de plusieurs mois dans la France entière.

On notera la présence de Natty Jean sur plusieurs titres de l’album, prenant ici toute sa place dans le groupe.
Rencontré à Bamako, ce jeune chanteur africain ramène un peu de son Sénégal avec ses textes en francais mais aussi en wolof ! Avec Balik, le chanteur des Danakil, ils forment un  duo complice et explosif !

Malgré le succès, les Zénith et les Olympia qui font à chaque fois salle comble, les Danakil gardent toute leur simplicité.

Sur scène ou sur la route, le groupe préserve son identité et ses valeurs, et favorise à travers leur musique, les échanges intergénérationnels, culturels et tout simplement humains.

Pour toutes ces raisons, nous sommes heureux de compter à présent parmi nous toute l’équipe des Danakil, avec qui nous partageons les mêmes valeurs d’humanisme et de solidarité !

 

Paroles extraites de la chanson « les pages se tournent »

« Je ne suis pas fou, je ne suis pas un menteur
Juste un être qui comme vous rêve de voir son peuple a la hauteur
Je ne sais pas vous, mais parfois dans mes heures sombres j’ai peur
De laisser m’échapper une vie que j’aime avec ardeur
A se demander laquelle de nos vie ivresses
Pourrait égaler la valeur du temps qu’il nous reste
Quel geste faut-il préférer quand les murs se dressent
Briser ou modifier, question de sagesse »

danakil

GRANDIR DIGNEMENT souhaite remercier tous les membres du groupe  pour leur disponibilité et leur engagement auprès de GRANDIR DIGNEMENT.